En vue des Jeux Olympiques et de l’Euro 2024, le feu des projecteurs est constamment braqué sur l’équipe de France, mais pas seulement. Comme des milliers d’organisations chaque année, la Fédération Française de Football (FFF) constitue une cible pour les cyberattaques, dont elle a été malheureusement victime récemment.
Touchant plus de 1,5 million de personnes et mettant en péril la sécurité des données sensibles de ses clients, cette dernière attaque rappelle de manière poignante la vulnérabilité des organisations face aux cybermenaces croissantes.
Les cybercriminels ciblent les données des consommateurs, clients et abonnés.
La cyberattaque contre la Fédération Française de Football a eu des répercussions massives, mettant en danger la confidentialité des données des utilisateurs et provoquant des dommages considérables à la réputation de l’organisation.
Les coupables ont réussi à exploiter des vulnérabilités dans les systèmes informatiques de la Fédération, accédant ainsi à des informations sensibles telles que les adresses email, les adresses de domiciles, dates de naissances, etc.
Avec ces données, ces cybercriminels peuvent désormais mener des attaques d’ingénierie sociale (ou social engineering) ciblant ces utilisateurs.
L’ingénierie sociale : l’arme principale des cybercriminels.
Entre 70% et 90% des violations de données impliquent l’ingénierie sociale, ce qui en fait l’une des plus grandes menaces de cybersécurité auxquelles sont confrontées les organisations et les individus.
Pour se préparer à une attaque d’ingénierie sociale, les criminels se penchent sur des informations de base telles les informations d’identité, coordonnées afin d’exploiter de mauvaises pratiques de cybersécurité. Tout ce dont ils ont besoin sont de quelques informations personnelles avant de faire du phishing, le type d’attaque d’ingénierie sociale le plus courant.
En se faisant passer pour quelqu’un d’autre, ceux-ci tentent de gagner la confiance de la victime afin qu’elle soit plus susceptible de divulguer des renseignements confidentiels ou de lui permettre d’accéder à des systèmes internes. La plupart du temps, les attaques de phishing sont envoyées par e-mail, chose à laquelle les 1,5 million de personnes affectées par la cyberattaque de la FFF devront faire face au cours des prochains mois.
De telles cyberattaques soulignent l’importance cruciale d’une sécurité informatique robuste pour toutes les organisations, quelle que soit leur taille ou leur domaine d’activité.
Keeper Password Manager est une solution complète conçue pour améliorer la collaboration et la sécurité des équipes en facilitant la gestion, le stockage et le partage sécurisés des mots de passe et des fichiers importants.
Contrairement aux méthodes traditionnelles et non sécurisées de partage de mots de passe, telles que les feuilles de calcul ou les notes autocollantes, Keeper permet aux administrateurs informatiques de créer des dossiers d’équipe partagés, en définissant des autorisations d’accès précises alignées sur le service ou le rôle de chaque utilisateur. Cela permet un partage transparent des mots de passe et des identifiants de connexion entre collègues, garantissant ainsi que les informations sensibles sont toujours protégées.
Voici quelques-unes des façons dont Keeper peut aider après une cyberattaque comme celle ayant touché la FFF :
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Gestion sécurisée des mots de passe : Keeper offre un coffre-fort numérique sécurisé pour stocker et gérer les mots de passe de manière cryptée. En utilisant Keeper, les organisations peuvent renforcer la sécurité de leurs comptes en ligne et réduire les risques d’accès non autorisé.
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Authentification à deux facteurs (2FA) : Keeper propose une authentification à deux facteurs robuste pour renforcer la sécurité des comptes. En ajoutant une couche supplémentaire de protection, la 2FA rend plus difficile pour les cybercriminels de compromettre les comptes, même s’ils parviennent à obtenir les identifiants de connexion.
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Surveillance des menaces : Keeper Security offre des fonctionnalités avancées de surveillance des menaces qui permettent aux organisations de détecter et de répondre rapidement aux activités suspectes. En identifiant les anomalies et les comportements potentiellement malveillants, les organisations peuvent prendre des mesures préventives pour protéger leurs données contre les cyberattaques.
La cyberattaque dont a été victime la Fédération Française de Football met en lumière les dangers auxquels sont confrontées les organisations dans un paysage numérique de plus en plus hostile.
Pour se protéger contre de telles menaces, il est essentiel de mettre en place des mesures de sécurité robustes et de recourir à des solutions technologiques avancées comme Keeper afin de protéger efficacement ses données.
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